Ili perst (leg. Gglb), come pure uno della S. Tarnova 7.08 (Kr). Però sono già molti anni dacché ho esaminato questi es., e non essendone stato trovato più alcuno dai nostri entomologi, ho quasi il sospetto che potesse trattarsi di uno scambio dell’ elegans carniolicus coll’ alpi-cola. Sarà bene perciò di attendere un ulteriore conferma prima di annoverare 1’ alpicola come specie nostrana. 173. Tr. elegans Putz. (Schaum 647, Ganglb. Kaf. Mittelcur. 200 e Verh. zool. bot. Ges. 1896, 457. — Alpi orient, fra la Sava e la Drava). — Raggiunge 1’ estremo lembo nordico della V. G., ove è rappresentato da una razza speciale: a), elegans carniolicus Gglb. (Verh. zool. bot. Ges. 1896, 458, tipo: Cerna perst). — Differisce notevolmente dalla forma tipica delle Ca-ravanche (Stol, Obir) per il colorito più oscuro, gli angoli post, del pronoto acuti e sporgenti, statura un po’ maggiore ed elitre meno depresse. Assomiglia al Tr. sinuatus del M. Baldo, però le antenne sono più slanciate ed il primo punto setigero dorsale più vicino alla base delle elitre. — Cerna perst, nella reg. alpina sotto sassi, VII (Gglb. plur., anche Pr e Spr). — Nel Museo di Vienna si trovano anche 3 es. coll’ indicazione «Debeli vrh (Nanos)», leg. Sever; però questa località ha bisogno di conferma. 174. Tr. illyricus Jeanncl (Bull. Soc. Sciences Cluj, 1921, 162, tipo: Selva del Piro). — Specie descritta in base a una sola femmina trovata da Jeannel all’ ingresso della Volcja jama sul versante occid. della Selva del Piro. Non avendo esaminato il tipo, riporto la descrizione originale: «Long. 3,5 mm. Aptère. Tibias antérieurs sans sillon sur la face externe. Forme générale très caractéristique, large, déprimée, avec la tête très grosse, les sillons frontaux très profonds et rugueux, le pronotum très fortement transverse, les élytres très brusquement tronqués en avant et en arrière, les pattes très robustes. Brun de poix brillant, avec la suture et les côtés des élytres, les antennes, les palpes et les pattes pâles. Tête grosse, large, à sillons frontaux profonds et anguleux, rugueux, à yeux gros, saillants, trois fois aussi longs que les tempes, à antennes épaisses; l’article II est aussi long que le IV. Pronotum très transverse presque deux fois aussi large que long, à côtés peu arqués, à base aussi large que le sommet, presque rectiligne, à peine arquée; angles postérieurs presque droits, disque peu convexe, impression transverse faible, fossettes basales petites, mais nettes. Elytres très déprimés sur le disque, tronqués à la base et au sommet; côtés peu arqués, élargis en arriére, épaules saillantes, région apicale brusquement déclive. Gouttière marginale étroite, rétrécie sur le bord huméral; stries très fines, les trois premières seules bien visibles, interstries larges et très plans. Pattes robustes, à fémurs très épais, même chez la femelle. Lignes orbitai-res convergentes en avant; le pore susorbitaire antérieur est très gros. Premier pore discal de l’élytre placé au niveau du sixième basai de la 3e strie; deuxième pore après le milieu; tous deux sont un peu en dehors de la strie, sur le quatrième intervalle.