u:s serres pendant la seconde guerre blâmes à l'entrée. Il y avait dans les diverses pièces une vingtaine environ d'hommes grièvement blessés, mais qui auraient pu être sauvés s'ils avaient reçus des soins immédiats. L un d’eux, le neuvième, descendit même l’escalier, mais il tomba près de la porte qui conduisait à la maison voisine, <'t par kvqueiîe nous sortîmes. Ce malheureux se nommait Ilia ; c’était le tuilier bulgare de Ghevghéli. Nous avions été arrêtés ensemble, et c'est pourquoi je pus le reconnaître. « Par une petite porte, nous entrâmes dans une maison grecque où il n’y avait personne. Tous avaient fui. Par bonheur, la porte cochère était ouverte. Nous primes le chemin de la colline sans chercher les sentiers. J’étais très faible, aussi je restai en arrière. Des huit rescapés, j’étais le seul qui fût soldat. Les autres, qui étaient moins blessés et plus solides que moi, purent s'enfuir plus vite et je restai seul. Je me traînai jusqu’au sommet de la colline où je trouvai des soldats bulgares. Je partis à pied vers Névrocop. Il y avait avec moi des soldats, Turcs de Bulgarie j>our la plupart. Après une heure et demie